2ème Journées internationales de médecine interne

La bibliothèque Malek Bennabi est en train d’élargir progressivement son audience en accueillant diverses manifestations à caractère culturel et scientifique. Une vocation qu’elle entend consolider afin de devenir un pôle de savoir incontournable au niveau de la wilaya. En attendant, son statut est toujours à l’étude. Les 05 et 06 novembre passés c’était au tour du club des médecins d’Aïn Témouchent de tenir les 2èmes journées internationales de médecine interne. Sponsorisée par plusieurs laboratoires pharmaceutiques dont Abdi Ibrahim, HHI, Roche, Sanofi/Aventis, Merival, BMS, UCB, AJPM et Géopharm, cette session qui entre dans le cadre de la formation continue a réuni une brochette de spécialistes nationaux et étrangers.
Axés sur les maladies cardiaques et le diabète, les thèmes développés ont manifestement suscité un réel intérêt auprès des participants grâce notamment à la qualité des intervenants. Les travaux ouverts en présence d’une nombreuse assistance ont débuté par une conférence donnée par le professeur Bruno Genevray, chef de service de médecine interne du CHU Léopold à Paris, qui a parlé des nouvelles stratégies dans le diabète de type 2. La première séance du jeudi a été consacrée, quant à elle, à l’hypertension artérielle. Le même communicant, le Dr Genevray a abordé, cette fois-ci, le sujet sensible relatif à l’HTA et le rein : espoirs et réalité. Lui succédant le Dr Abid Abdelkader, un maître de la discipline, a rappelé avec un art consommé de la pédagogie, les différentes approches thérapeutiques concernant le HTA et le diabète.
Le Dr Kazi, gynécologue à Tlemcen, s’est appesanti pour sa part sur l’hypertension chez la femme enceinte. Vers les coups de 11h00 est intervenu le Dr Yakho d’Oran, qui a tenté de répondre à l’interrogation «A quand la fin de l’approche glucocentrique du diabète ? « Avant d’être relayé par le Dr Achab, chef de service de médecine interne à Oran, lequel a évoqué les questions actuelles ayant trait au syndrome métabolique. Cette seconde séance a été clôturée par le Dr Ghezzaz qui s’est intéressé à la prise en charge du malade cardiaque sous anticoagulants en chirurgie dentaire.
Au cours de l’après midi, c’est le professeur G. Bloch de Paris qui devait dans une conférence débat, éclairer l’auditoire sur les indications actuelles des pontages coronariens. La dernière partie du séminaire a été réservée aux problèmes d’ischémie cardiaque auxquels ont essayé de répondre les professeurs Abid, Bloch, Ilès et Bessaïd, qui traitèrent respectivement de la «lecture méthodologique d’un essai», «suivi des opérés cardiaques» et de «l’angor et diabète». Une rencontre de haute facture dont la réussite revient à toute l’équipe du CMAT qui a pu offrir à la corporation des médecins un remarquable plateau scientifique. Les absents ont assurément raté une belle occasion de conforter leurs connaissances. Parce qu’il n’y a pas mieux que les contacts, les échanges d’expériences et les questions à chaud pour lever les doutes et s’approcher des vérités médicales qui forgent les compétences.

Source : Echo-Oran

12 réflexions sur « 2ème Journées internationales de médecine interne »

  1. IL manque de service dentaire à l’Hopital Léopold Bellan à paris .
    C’est petit comme hopital, et le service est similaire à nos service.

  2. Je m’adresse à Mr Magellan :

    Vous etes à coté de la plaque Mr , l’article aborde le sujet de la formation continue pour les médecins de la wilaya d’ain temouchent et vous , vous critiquez l’hopital Léopold Bellan à paris .
    reveillez vous Mr.

  3. je le critique pas .Bien au contraire, j’ai déjà eu le plaisir d’ y effectuer un court séjour. et je trouve bien que nos établissements soit en contact avec cet etablissement . Espérant que ces journées s’élargiront à d’autres services.

    Et pour votre information , il manque un service se sémiologie a L.Bellan.
    ça ne veut pas dire que ce n’est pas un bon hopital.
    Je m’excuse pour votre mauvaise compréhension de ce que je voulais dire.

  4. Vous dites  » qu’il manque de service dentaire à l’Hopital Léopold Bellan à paris .
    C’est petit comme hopital ».
    Si se n’est pas des critiques c ‘est quoi au juste ?
    Or l’objet des journées internationales c’est la formation continue

  5. Juste parce que j’avais mal aux dents…………..et comme j’habite dans le 15e arrondissement, c’était l’hopital le plus proche de chez moi.
    Tout content d’utiliser ma carte « Vital » car je venais de la recevoir, je me suis rendu, et c’était le mois de ramadhan en plus.
    je me suis rappellé les bons moments où je partais à notre bon viel hopital de témouchent. En m’adressant à l’infirmier , j’ai juste été étonné .
    ça m’a fait rire.
    Alors je suis partis en voiture à la Salpétrière car je voulais pas aller au centre dentaire de Barbès (honnetement c’est pire que chez nous!).
    Là je me suis perdu un peu car je connais bien la répartition des pavillon de cette immense cité mais ce jour là j’avais perdu mon sens de l’orientation.
    J’ai trouvé ce que je cherché, y’avais pleins de monde, et j’avais le visage tout gonflé 😆
    Là je suis passé chez les chirurgiens dentistes car j’en ai eu droit à 2, et je suis reparti aprés une bonne demi heure.
    Et aujourd’hui j’ai le même problème de l’autre coté de ma dentition 😥 et je me suis carémment oublié, tellement je suis débordé et j’hésite entre aller encore a la salpétrière ou bien chez mon dentiste a témouchent parceque je vais venir d’ici quelque semaine !

    Mais, entre nous cher Docteur car je présume que vous êtes médecin, je préfere nos hopitaux.

    J’ai visité pas mal d’hopitaux dans le monde ( Danemark,Belgique, France, Tunisie,Allemagne,….SS Ahmed medeghri, CHUO,CHUT,…), je pense que notre système sanitaire est unique, et notre sécurité sociale se porte bien.
    Même le prix des prestation est correcte.Manque juste un peu la qualité peut etre des soins et un manque de matériels et une bonne gestion.
    Ceci est ma vision des choses d’après ce que j’ai vu et ce que je vois.
    Après chacun son opinion.
    J’èspère que ces formations continues seront bénéfiques aux participants comme aux futurs patients.
    J’espère juste que d’ici quelque temps, on pourra faire des lois pour reglementer la recherche clinique, car le pays est ouvert à l’investissement avec plusieurs laboratoires qui s’intéressent au marché algérien et il serait bon de se préparer à cela .

    Je vous souhaites une bonne continuation et vous inviterais volontier lorsque vous serais de passage a paris.
    Cordialement

  6. Merci à vous pour ce compte rendu détaillé qui n’aborde toujours pas le sujet de l’article du journal , qui est la formation médicale continue au profit des médecins d’ain temouchent.
    et l’Hopital Léopold Bellan de paris qu’il soit grand ou petit c’est un fait qui ne me concerne ni de loin ni de prés.
    Le jour ou vous serez au bled en prendra un café ensemble faites moi juste un signe par ce biais et je serai au RDV .

    With best regards

  7. Je suis sur que le perfectionnement et l’homogeinisation des connaissances sont une excellente chose,Mais,car il y a un MAIS,- c’est le probleme de nombreux patients,sur lequel nos praticiens médicaux ne s’etalent Jamais-
    1/La tarification des honoraires des praticiens généralistes et spécialistes. 2/La tarification des prestations de Labo et Radio
    3/Les plaques d’identification qui laissent à desirer
    . 4/L’inexistence d’une répartition,pensée,reflechie et equitable,dans l’implantation des praticiens généralistes et spécialistes privés,à travers notre wilaya.
    5/Le deficit flagrant dans certaines spécialités.

    En conclusion;je souhaiterai q’un médecin specialiste connu à Ain -témouchent-ville,s’interesse bcp (interrogatoire-palpation-percussion et auscultation de
    ses PATIENTS),qu’à son micro-ordinateur,car les malades veulent que leur medecin leur accorde un maximum de temps,pour lequel il est renuméré.
    A bon entendeur….Salut.

  8. tout ça me fait bien rigoler ; lorsque je me remémore les souvenirs d’enfance
    je me souviens d’un dentiste « ambulant » qui trimbalait son matériel
    enveloppé dans un chiffon blanc qu’il dissimulait sous sa djélaba
    car ce (praticien) était musulman ;il avait un DON
    en tout cas il n’encaissait rien ,son extraction terminée
    il ne restait plus qu’a ce rincer la bouche ;un peu de vinaigre dilué dans l’eau
    et voila tout , jusqu’à la prochaine fois

    Un CHIBANY qui se souvient du temps jadis 😆

  9. Pour HAssan, si tu as l’aide médicale, tu peux faire ça a condition que le cabinet auquel tu t’adresse est agréée.
    Bonne chance.

Laisser un commentaire

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *