La musique Chaâbi égaye les soirées

À partir de ce jeudi, les deux seuls chanteurs de chaâbi de la wilaya, Halim de Chabat El Laham et Abdelkrim Bouteflika, vont se sentir moins seuls au pays du raï. En effet, le mandole, le tar et la derbouka, instruments caractéristiques de la musique reine à Alger, vont meubler de leurs sonorités rythmées des soirées programmées en quatre chefs-lieux de daïra : Témouchent, Hammam Bou Hadjar, Béni-Saf et El Malah. Reportée en raison des émeutes qui ont secoué le pays, une caravane culturelle algéroise va y faire le déplacement dans le cadre du festival culturel local des arts et des cultures populaires. Elle se déploiera autour d’une exposition et des galas artistiques. Continuer la lecture de « La musique Chaâbi égaye les soirées »

Un riche programme pour le mois d’octobre

La maison de la culture de la wilaya d’Ain Temouchent a concocté un programme culturel qui se distingue des précédents par les événements nationaux. En effet, le 03 octobre sera donné l’ouverture des chantiers ou plutôt des ateliers pédagogiques dans plusieurs spécialités, dont les arts plastiques. Il est espéré une formation d’apprentissage aux langues. Le théâtre est également présent et dominant. Les enfants d’Ain Temouchent seront au rendez vous au spectacle intitulé Magharet El Afarit (les grottes des démons). A l’occasion du 20 octobre, un autre spectacle destiné aux adultes, intitulé « Yaoumiate Fennan » (les jours d’un artiste), est programmé à la salle de spectacles de la maison de la culture, avec la troupe El Fejr Jadid. Continuer la lecture de « Un riche programme pour le mois d’octobre »

La Maison de la culture fait son bilan

La maison de la culture de la wilaya d’Ain Témouchent a accordé une priorité aux associations et troupes locales afin de promouvoir leur produit artistique et culturel. Ceci a été constaté à travers son programme spécial d’activités culturelles durant le mois de ramadhan. Son bilan mensuel est éloquent : 4 soirées musicales, 3 soirées d’inchad (chant réligieux), 3 soirées poétiques et 7 représentations théâtrales. Ce programme a été apprécié par les présidents de ces associations qui ont mis en exergue leur savoir artistique et culturel au cher public témouchentois qui a découvert des jeunes talents pleins d’ambition et également percevoir une gratification financière en signe d’encouragement. Continuer la lecture de « La Maison de la culture fait son bilan »

Le théâtre mascaréen en démonstration

Lors d’une soirée ramadhanesque ce samedi, le théâtre de la wilaya de Mascara était présent à Aïn Témouchent pour présenter son nouveau produit du 4e art intitulé «Er-rahil» (Le départ) au public témouchentois, qui était venu en masse, à la salle de spectacle de la maison de la culture. Les familles présentes ont énormément apprécié la scène théâtrale mascaréenne. Le texte présenté par les artistes est issu de l’oeuvre du grand dramaturge algérien Ould Abderrahmane Kaki «La nuit». L’adaptation et la mise en scène sont de l’artiste Belaalem Ahmed, quant à La scénographie elle a été produite par Rahmouni assisté de Djamel. Continuer la lecture de « Le théâtre mascaréen en démonstration »

De l’oxygène pour les associations culturelles locales

Un budget d’un million dinars a été alloué par l’Assemblée Populaire de la Wilaya d’Aïn Temouchent au profit de dix associations culturelles. Il a été approuvé, hier, en pleine session ordinaire des élus. Chaque association a bénéficie de cent mille (100.000) DA sous forme d’aide pour la concrétisation de son plan de travail. Dans cette optique, l’association pour la promotion et la préservation de la chanson locale a été régalée au même titre que se consoeur folklorique d’Ouled Sidi Rabah. Le président de cette dernière association, M. Marouf Kouider, s’est exprimé au journal la V.O. « Notre association mérite d’être aidée financièrement car elle a excellé dans toutes les manifestations culturelles et représente honorablement la wilaya dans les festivals nationaux, dont le Panafricain 2009. Je remercie l’APW d’avoir rétabli l’espoir aux artistes de cette association ». Continuer la lecture de « De l’oxygène pour les associations culturelles locales »

La bibliothèque El-Beyrouni en perte de vitesse

La ville d’Aïn Témouchent s’enorgueillit de posséder une bibliothèque située en plein centre de la ville, baptisée au nom d’El Beynouni. Ce lieu de culture fut une antenne dépendante du Centre culturel français pendant deux décennies. Elle disposait de tous les moyens nécessaires pour sa bonne marche, telles tables et chaises. Mais aujourd’hui, elle souffre du manque de livres. Sur ses rayons, on trouve des anciens livres témoignant de l’ère de Badelaire, Emile Zola, Jules Valles, Montesquieu, Taha Hussein, Al Manfalouti… Seulement, les jeunes lecteurs, notamment les lycéens, ne trouvent pas de livres pour rassasier leur faim. Continuer la lecture de « La bibliothèque El-Beyrouni en perte de vitesse »

Le public renoue avec les marionnettes

« Le rêve des marionnettes», cette nouvelle pièce théâtrale est l’œuvre de Hassan Tounsi de «Masrah Ellaïl» de Constantine. La générale a été présentée ce dimanche au public témouchentois et a eu pour cadre la salle de spectacles de la maison de la culture. A travers cette œuvre, l’auteur veut plonger le monde de l’enfant dans celui des rêves à même de développer chez lui l’imagination, de l’inciter à la développer et promouvoir ses capacités intellectuelles, l’amenant par la suite à ne pas être seulement un spectateur consommateur mais un commentateur et un créateur de pensées. Selon le compositeur que l’on a accosté après la présentation de la pièce «Le rêve des marionnettes», le problème ne réside pas au niveau du texte, et ce n’est pas ça qui manque, mais il demeure au rang des techniques usitées et de leur fonctionnalité notamment. Continuer la lecture de « Le public renoue avec les marionnettes »

4e édition du festival du théâtre de la marionnette

Le coup d’envoi de la 4e édition du Festival national de la marionnette (Fnm) a été donné mardi soir à la maison de la culture de la ville d’Aïn Témouchent. Les aventures de Djeha, Les marionnettes et les clowns, spectacle conçu par Hamidi Saïdi, l’un des pionniers du théâtre de marionnettes en Algérie, a été présenté en ouverture au grand bonheur d’un public composé en majorité d’enfants. Programmé dans le « off » du prochain Festival d’Avignon (France), Les aventures de Djeha utilise des techniques nouvelles dans l’art de la représentation. Onze troupes sont en compétition pour le trophée de cette manifestation culturelle qui s’étalera jusqu’au 8 du mois courant. Outre les troupes en compétition, le festival a sélectionné trois autres en « off » avec leurs spectacles primés l’année dernière, indique le commissaire du festival, Mohamed Bouchahlata. Continuer la lecture de « 4e édition du festival du théâtre de la marionnette »

Premières journées nationales des instruments à vent

Les journées nationales des instruments à vent viennent de supplanter le concours de la meilleure trompette, Aïn Témouchent étant le berceau du raï et la trompette ayant participé de façon décisive à la modernisation du genre.Le concours a vécu trois éditions avant de s’essouffler et de connaître une interruption ces deux dernières années. Cela ne pouvait étonner, la formule n’ayant eu d’autres perspectives que l’organisation d’un concours à cette seule fin. D’où son remplacement et son élargissement à tous les instruments à vent, que ce soit le cuivre ou le bois comme … le saxophone. Pour ceux qui auraient tiqué au dernier terme énoncé, il est utile de signaler que le saxophone, bien qu’étant essentiellement en cuivre, est classé dans la catégorie bois parce qu’il a un bec … en bois. Continuer la lecture de « Premières journées nationales des instruments à vent »

La vie et l’œuvre d’Albert camus en pellicules

Des séquences du film Le premier homme, retraçant la vie et l’œuvre du romancier Albert Camus ont été tournées dans la wilaya de Aïn Temouchent. Pour les besoins du tournage du film Le premier homme, la vieillotte petite gare d’El Amria (30 km, nord-est de Aïn Témouchent) s’est transformée en celle de Mondovi, le village natal d’Albert Camus près de Annaba. Le fait que le nom Mondovi figure en toutes lettres sur un mur de la bâtisse laisse penser que Gianni Amelio, le réalisateur, va s’atteler à une autobiographie de l’auteur de L’Etranger, plutôt qu’à celle de Jacques Cormery, son alter ego dans son ultime roman, Le Premier homme, une œuvre largement autobiographique. Continuer la lecture de « La vie et l’œuvre d’Albert camus en pellicules »