Dix-neuf transporteurs de voyageurs de la wilaya de Aïn Témouchent ont été verbalisés et leurs dossiers transmis à la justice hier pour «augmentation illégale des tarifs», a-t-on appris du directeur des transports. Cette augmentation, en moyenne de cinq DA, «a été décidée d’une manière unilatérale par les opérateurs sous la coupe de l’Union nationale des transporteurs (UNAT) et de l’Union générale des commerçants et artisans algériens (UGCAA), et a pris effet à compter du 7 janvier dernier», a précisé M. Mounir Yaala. «Ces deux organisations syndicales ont même placardé des affiches portant augmentation des prix», a-t-il ajouté.
Cette «augmentation illicite des tarifs» a conduit une centaine de citoyens du village de Houaoura, commune de Bouzedjar, à bloquer, dans la matinée, la route menant vers El-Amria, en signe de protestation, souligne-t-on. L’intervention immédiate des autorités locales, dont le directeur des transports, a rétabli la circulation routière sur le tronçon routier. Les pouvoirs publics ont signifié aux utilisateurs du transport «l’annulation de ces nouveaux prix et leur caractère illégal», a signalé M. Yaala.
Lors d’une séance de travail tenue dernièrement avec les deux syndicats, en présence du directeur du commerce, le directeur des transports a signalé le caractère illégal de cette augmentation des prix du billet de transport. «La réglementation en vigueur n’autorise pas cette augmentation», a précisé M. Yaala, avant d’ajouter que son administration a reçu de nombreuses requêtes à ce sujet. Tout en indiquant que «l’augmentation forfaitaire n’est pas justifiable », le directeur des transports a indiqué qu’elle doit, au contraire, prendre en considération les distances parcourues par chaque opérateur. La réglementation actuelle (décret 96/39) fixe le prix pour chaque kilomètre parcouru à 0,25 DA, signale-t-on. La wilaya de Aïn Témouchent compte 489 opérateurs de transport de voyageurs, dont 12 assurant la ligne Aïn Témouchent-Oran se sont vu retirer leurs autorisations d’exploitation en raison de «la vétusté de leurs moyens de locomotion », selon le directeur des transports.
Source : APS
Merci monsieur de votre action en faveur des usagers de la route.
Amine de Paris .
Je tient à préciser qu’il s’agit là d’un article de l’APS bureau de Ain Temouchent
Merci.
Merci Berrazeg ,je ferai attention la prochaine fois.
il ne s’agit pas dire que des transport on étté varbalisé mais il faut qu’il annule la note dircetement.car ces derniers continue le prix a cent pour cent .voila il faut que la note soit annulé . alors il faut faire vite amis ce sont nos enfants qui payent la sauce et non les enfants de ces directeurs qui sot bin a l’abri .comment nous sommes aux etats unis chacun fait une loi.ou chaque etat fait une loi.nous sommes en algerie. on fait des lois il ya pas de loi .la loi est uniquement valable lorsqu’elle est faite par l’assemblée et prouvé et signé opar le président.alors ici menne habba ou debba fait des lois merci amis. je plaide la cause des pauvres seulement.je suis algerienne et mon coeur aussi.
Ne dite pas n’importe quoi madame. tout le monde prends les transport en commun . meme les directeurs. Alors ne parlez pas en l’air.
Et merci aux journalistes de l’APS, je n’ai pas lu un seul de leurs article depuis Bouatia et Moussa.
Bonne année à vous et aux journalistes de notre ville.
je ne fais pas alusion a toi mr le directeur pourquoi tu reponds a la place des autres. nous parlons ,nous agissons au nom de la loi.nous voulons des lois justes et équitables.nous voulons laloi pour tous.pas pour toimr ledirecteur.alors nous voulons etre tous au courant de ce qui passe a ttravers notre pays.nous voulons l’ouverture.alors toi mr le directeur tu mereponds comme ca qui comme s’ilya qu’un directeur en algerie c’est bien vous. si tu n’a pas de vehicule peut etre tu n’est pas un bandit.peut etre tu e honnete.moij’ecris a lapresse et non a vous.laisse moi parler avce les gens pour remedier la situation ou le vol et l’escroquerie des ces voyageurs continuent et personne ne reprime.puisque le chef dort alors nous dormons tous