Le grand quartier «Haï Zitoun» recelant quelque 600 habitations à Aïn Témouchent, qui y ont poussé en cette dernière décennie, vit toujours de promesses emportées par le vent, car aucune d’entre elles n’a été concrétisée à ce jour, alors que nous sommes à l’orée de l’année 2008.Et dire que ce grand quartier jouit d’une position privilégiée, derrière le siège de la wilaya, où le prix du mètre carré constructible atteint les sommets insoupçonnés. Pourtant, ses habitants ne comprennent pas pourquoi ils doivent toujours patauger dans la boue en hiver et respirer la poussière en été.
Bref, ces jours-ci, personne ne peut rentrer chez lui, sans être crotté des pieds à la tête, au grand dam des ménagères, qui en ont ras-le-bol de passer la serpillière à l’heure de leur feuilleton favori, quand elles n’ont pas la chance de disposer parmi leurs filles, d’une petite «Cosette» de service, qui accepterait bien de faire le sale boulot à leur place. Comme pour tout arranger, l’insuffisance d’éclairage n’aide pas les habitants à éviter les pièges et autres fondrières, surtout la nuit où les roues des véhicules se mettent à patiner au lieu d’avancer. La DTP serait bien inspirée de programmer la réhabilitation de la voirie de ce quartier, d’autant plus que les travaux à envisager, ne devraient pas dépasser un mois pour une entreprise expérimentée, si l’on en croit les spécialistes versés dans le créneau.
source : Voix-Oranie
Malheureusement c’est le cas de presque la totalité des grandes ville en algérie et comme l’écrivait un de vos confrère au mois derniers suite aux inondations survenues dans le pays, « Oran est noyée dans une goutte de pluie », jusqu’à quand nos responsables cesseront de jouer le rôle d’observateurs immobiles pour les vrais problèmes de société. A bon entendeur!
Je suis еntіèrement d’accord avec vous