Kali signe un autre titre pour la région de Sidi Saïd

A la salle de conférence de l’Hôtel de Ville d’Ain Témouchent, les hôtes avaient rendez-vous hier avec l’écrivain journaliste Kali Mohammed qui devait présenter son nouveau livre intitulé «Aïn Témouchent, le temps de la colonie». L’assistance était nombreuse, constituée d’hommes de la culture, de journalistes, du directeur de la maison de la culture et des personnalités de la ville de Sidi Saïd, y compris Briki Abdelkader, ancien maire d’Oran. Dans son intervention, en prélude, le maire de la ville, Touil Boucif, a mis en exergue l’ide de la mairie qui mis ses archives à la disposition de l’écrivain afin d’offrir à la région un ouvrage de plus.
Prenant la parole, Kali Mohamed a explique les raisons qui l’ont incité à une telle initiative. «J’ai commencé à sérieusement m’intéresser à Aïn Témouchent, vers 1980, surtout quand j’ai constaté l’absence d’écrits sur son histoire, sa culture… Je n’ai eu entre les mains que ce livre écrit par un Français, Antoine Carillo (ndlr, paru en 1954 sous le titre de «Aïn Témouchent à travers l’histoire», un livre empreint d’idées colonialistes.
Il nous fallait donc un produit à nous. C’est ce à quoi répond la naissance de ce livre, écrit dans la langue de Molière, livre qui reconstitue la gestion réelle de la ville d’Aïn Témouchent durant l’administration coloniale de 1844 à 1962 –façon de lever le voile sur le vrai visage colonial et de contredire ceux qui parlent d’oeuvre civilisatrice de la France-, qui revient sur la vie quotidienne des Algériens pendant plus d’un siècle avant l’indépendance, qui met en relief ce qu’était ici le mouvement nationaliste». Les événements s’y retrouvent, donnés selon leur chronologie.
«Le livre de 237 pages a été publié avec le soutien du ministère de la Culture», devait préciser Koudid Abdelli, le directeur de la maison de la culture d’Aïn Témouchent. A noter que l’APC d’Aïn Témouchent a acheté 250 exemplaires qui seront distribués sur les écoles primaires. Mohamed Kali est l’auteur de plusieurs publications, dont une consacrée à l’histoire de la ville de Béni Saf, basée également sur les archives de cette commune.

Source : Voix-Oranie

10 réflexions sur « Kali signe un autre titre pour la région de Sidi Saïd »

  1. enfin……
    je suis natif du quartier ou j’ai vécu une grande partie de ma vie (1943 à 1972) et je ne vous cache pas toute ma gratitude à l’égard de tous ceux qui ont participé à l’élaboration de l’ouvrage et plus particulièrement à l’auteur et au maire de la ville. (Allah yarham ammi moustpha TOUIL).
    je vis à l’étranger et souhaiterais savoir où peut-on se procurer le livre?

    mes salutations fraternelles à tous les anciens habitants du quartier.

  2. Tout ce qui touche ma ville natale m’intéresse
    aussi j’aimerai avoir des renseignements
    pour me procurer cet ouvrage

    Merci à celui qui voudra bien m’aider

  3. Je ne pense pas que le livre de Kali ait été écrit pour contredire ceux qui glorifie « l’oeuvre bienfaitrice de la France coloniale ». Pour avoir lu son livre, il apparait clairement que son propos est ailleurs, plus apaisé,sans haine,loin de cette querelle. Son livre retrace tout d’abord l’histoire d’une cité depuis sa refondation en 1844 à l’indépendance. Je suis loin de croire que Kali ait écrit un livre pour faire oeuvre d’idéologue ou de propagandiste nationaliste. Il nous retrace une chronique de la ville de Sidi Saïd où bien entendu la situation coloniale n’est pas occultée mais ce n’est pas elle le fil conducteur du récit. Enfin, j’ai entendu l’interview de kali à la radio. La seule chose qu’il ait dite en référence à la colonisation, c’estle fait que sur l’istoire de la ville il a déploré le fait que les seuls écrits existant sont l’oeuvre d’expatriés français ayant trempés leurs plumes à l’encre de l’idéologie Algérie française. Il estima qu’il fallait écrire autre chose qui soit en conformité avec le passé réel, sans oeilleres et sans à priori, sans faire une guerre d’arrière garde puisque de toute façon le colonialisme a été condamné par l’histoire.

  4. Salut chers amis

    J’ai apprecie beaucoup ce geste, te que des témouchentois laisseent des écrits sur l’histoire de la ville, je le considére comme un geste trés precieux.J’aime bien voir ce livre inchallah,j esouhaiterai le trouver.

    Dire que cet oeuvrage reconstitue la gestion réelle de la ville d’Aïn Témouchent durant l’administration coloniale de 1844 à 1962, je pense qu’elle était propre et Coquette, il faut que les lecteurs tirent les positifs de cette gestion sur leur ville qui était pleine des beaux Jardins et des Roses.

    Je remercie beaucoup Mr Kali pour le cadeau qu’il a offert à sa population Témouchentois, aux Historiens et à la culture en Génaral.j’encouraged’autres à faire de même, c’est une occasion également pour rendre hommage à tous les hommes de culture de la région entre autre Said MOUAS qui n’a jamais hesité de tremper sa plume dans l’encre pour laisser des traces sur l’histoire des grands évenements qui ont marqué l’histoire de notre ville.j’encourage également les lecteurs Témouchentois de lire de tout ce qui est produit sur leurs région parce que c’est térs important.

    Continuerons, nous arriverons inchallah

    Cordialement

  5. slt
    jiiamerai bien procurer se livre parceke javais mon grand pere qui ete caid a ain temouchent le defunt ahmed haouari le fils de sid el haouari doran,en plus sa existe larbe genealogique de ma famille chez le maire dans son bureau numero de larbre et 249,vous pouver la consulter .merci

  6. Mr Kali a ecrit un pseudo-livre,en puisant dans les archives de la mairie d’Ain-Témouchent,qui remonte à l’epoque coloniale,et ça cela sert à quoi ??
    Je n’ai pas du tout aimé le passage sur le Moudjahid Bouchaid,un passage qui crée de la confusion,et chose bizarre;pouequoi Mr Kali ne fait pas reference aux vrais(es) Hommes et Femmes qui ont fait ce qu’est devenue Ain-Témouchent.
    Arretez Mr Kali de taper du bendir pour regler vos petites affaires dans les couloirs de la wilaya et maintenant de la mairie.

  7. Sassa finda !
    Quel pseudo! Si c’est pour signifier votre méchanceté, vous y avaez réussi! Votre texte est un condensé de bassesse et de jalousie.
    Je témoigne que Kali n’est pas un chauffeur de bendir ni un affairiste. C’est cela qui vous dérange!
    Pour ce qui est de son livre, il n’était nullement question d’évoquer les hommes et femmes de Témouchent. Non, son objectif n’a jamais été d’écrire un botin mondain. IL a rédigé une chronique de la ville et à la meilleure source possible que sont les archives? Car que font les historiens et les chercheurs sinon d’interroger les archives? En en faisant le reprochan à Kali, Sassa Finda démontre qu’il est un ignare.
    Quant à la citation de Si Ahmed, elle était naturelle comme pour tous les élus « indigènes » dont l’action à la municipalité a marqué le passé de la ville puisque la démarche de Kali a été de reconstituer une chronique à travers les actes de gestion et d’autorité des successives municipalités. Et si, en passant, il a cité l’origine marocaine de Si Ahmed, ce n’est pas pour dire que c’est une tare comme vous le pensez en raciste que vous êtes mais précisément pour clouer le bec aux gens de votre engence. Comment peut-on se permettre, comme on le fait encore, de qualifier quelqu’un de marocain alors que son père est chahid ou que lui même a été moudjahed? Kali s’est élevé contre cela dans son précédent livre sur Béni-Saf comme dans ses écrits journalistiques! En rappelant que le plus illustre, le seul des 22 issu de la région ouest, est d’origine marocaine, c’était pour faire oeuvre de pédagogie. Cela vous le avez mais comme vous êtes plutôt mauvais que mauvais élève, vous voulez créer la confusion.
    Quant à Si Ahmed, il a lu et il a aimé.

  8. je n’ai pas l’habitude de m »inserer dans débats stériles car on peut prendre n’importe quel pseudo et répondre aux commentaires meme kali se défend à travers un prete nom et répond lui meme à ses nombreux detracteurs. la critique est biaisée et forcémént passionnée. je lis la plupart des journaux paraissant en langue francaise et je considère la presse en général en décalage par rapport aux problémes du quotidien . on encense plus les actions des décideurs qu’autre chose. alors por ce qui est de vos ecrits mr kali vous pouvez repasser vous servez comme tout nomade qui se respecte vos petits interets.un livre sur l’histoire des municipalités d’ain témouchent sur la base des archives ecrites par le colonisateur ou il est question essentiellement de réalisations et developpement de la cité est bel et bien une oeuvre de glorification francaise pour ceux qui savent lire.tout le reste n’est que litterature. le débat est clos.

  9. Je voudrais juste vous dire que cette personne a tout copié des livres écrits par les français. Il y a mis son grain de sel, a changé par ci par là quelques mots, quelques phrases et le tour est joué! Les charlatans faisant des affaires avec d’autres charlatans ce n’est pas ça qui manque chez nous. Yen a marre de ces vieux choques qui ont profité de la décennie noire qui tuait les vrais journalistes, pour se faire une place à la place vide qu’ils ont laissée. Place aux vrais talents, vrais écrivains aux jeunes qui veulent émerger mais dont les vautours comme celui là, arrêtent en plein vol.

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