Le premier jour du printemps a été perçu comme un signe de bon augure pour les usagers témouchentois du rail, auxquels la SNTF a réservé l’agréable surprise de remettre en service la ligne de voyageurs reliant Aïn Témouchent à la capitale de l’Ouest, après l’avoir supprimée pour privilégier le transport de marchandises. A vrai dire, cette liaison était empruntée à longueur d’année par les étudiants et les travailleurs exerçant à Oran, ainsi que par les familles nombreuses, qui profitent de la période des vacances scolaires, pour rendre visite à leurs proches. Le premier train partira chaque jour d’Oran à 07h50, pour arriver à Aïn Témouchent vers 08h59. Il semble que le même train repartira dans le sens inverse à 09h10, pour emporter vers Oran les usagers embarqués à Aïn Témouchent. Cette louable initiative de la SNTF tout en soulageant les usagers à destination d’Oran, pourra livrer une rude concurrence aux transporteurs routiers, qui ont défrayé récemment la chronique en augmentant déraisonnablement leurs tarifs.
Selon un cadre de la SNTF de Aïn Témouchent, la suppression de cette liaison avait été décidée pour privilégier le transport de marchandises, parmi elles la pouzzolane, roche entrant dans la fabrication du ciment et qui est produite dans la région de Béni-Saf. Les plus à plaindre dans cette défection furent les usagers issus des communes de Chaâbet El-Leham, Hassi El-Ghella et El-Maleh, habitués à se rendre en train et en toute sécurité à Oran. Une injustice que vient de réparer la direction régionale de la SNTF.
En attendant la mise en service d’un autorail, à l’instar d’autres lignes plus privilégiées, ces voyageurs aimeraient néanmoins disposer d’un peu plus de confort et d’être moins pénalisés sur cette ligne. Et de citer en vrac l’absence d’éclairage dans les wagons, l’infiltration des nuages de poussière, l’inconfort des sièges en skaï, très froid en hiver et brûlant en été. L’autre point noir concerne l’état de certains tronçons de cette voie, dont les rails sont chanfreinés et nécessitent leur remplacement. Selon les conducteurs des motrices de tête, il semble que là serait la principale cause des retards atteignant parfois plus de 10 minutes, en tous cas suffisamment pour rater à Oran, la correspondance du train rapide en partance pour Alger. Les voyageurs ont alors bonne mine d’avoir payé leur voyage pour Alger et de rester plantés à Oran, sans compter les rendez-vous manqués dans la capitale. Autant dire que la SNTF a encore du pain sur la planche, pour rationaliser les prises de correspondance à l’entière satisfaction de sa clientèle.
Source : Voix-Oranie
le train en question n’a jamais était arrêter sauf pour la construction du pont qu’il passe sous la voie ferré prés de la cité des cadres pendant 3 mois.le nouveau c’est que la sntf a ajouté une troisième navette a 9h du matin temouchent-oran et 7h matin oran-temouchent.l’autre bavure concerne les arrêt puisque le train ne s’arrête plus a El malah et a Hassi El-Ghella. pour le reste je suis d’accord surtout en ce qui concerne l’autorail parce que en principe il a été décidé l’année dernière de doter la ligne de temouchent-oran par un autorail ainsi que la ligne oran-rélizane mais rien jusqu’à ce jour.
entre nous, je me rappelle les jours de la fac, ou on faisait la rupture du jeun dans le train. Il tombe tjr en panne ???
BLEUF….RIEN QUE DES MENSSONGES……C LA COMPAGNE DE BOUTEF….
ON RESTERA TOUJOURS LES DERNIERS DE LA PLANETE….
en parlant de sncf je passe le bonjour a mohamed bari
salut a tous