Totalement «relooké» il y a peine trois ans, le vieux marché couvert d’Aïn Témouchent, dont la rénovation a coûté près de trois (03) milliards de centimes, semble livré à lui-même. Situé en plein centre-ville, cet espace mythique montre des signes évidents de relâchement au plan de l’hygiène, outre l’anarchie qui y règne malgré l’exceptionnel effort de réhabilitation, le manque d’entretien et à l’organisation hypothéquant sérieusement son fonctionnement. Le marché couvert et tout quidam peut en faire le constat, est envahi par la saleté, à telle enseigne que le carrelage n’est plus visible, vu l’épaisseur de la crasse qui le recouvre. A cela il faut ajouter l’occupation anarchique des allées de circulation, des entrées du marché et des trottoirs extérieurs, sans compter une poissonnerie qui se dégrade à vue d’oeil. Il faut jouer des coudes pour se frayer un chemin au milieu de cet antre commercial.
A croire qu’il n’existe aucune tutelle (l’adjudicataire ?) pour redresser la situation. Et si les marchands qui y ont trouvé refuge sont incapables de civisme, il appartient au gestionnaire déclaré de le rendre digne de sa fonction, ne serait-ce qu’en améliorant l’accueil et la propreté.
Source : Echo-Oran
Ne dit-on pas que « annadafa min el imane?
Cette expression est apprise à l’enfant dès son jeune âge à l’école
En ce moment au vu de la saleté qu’on voit partout à travers la ville et pas seulement au marché couvert, cette expresion a perdu tout son sens
Allah yestour la population des maladies générées par la saleté
كل المدينة أصبحت وسخة العيش فيها لا يطاق بالأخص شارع الأمير عبد القادر الذي يحمل رمز الجزائر و كذا شارع باستور الذي من المفروض أن إسمه متعلق بالصحة و السلامة و ليس بالوسخ.
أعلى شارع مغني صنديد و بالضبط قرب حمام بوراس لا يوجد نضافة إطلاقا بل رأيت النجار يقوم بتنظيف المنطقة.
سوق السمك حدث و لاحرج الحديقة العمومية أصبحت مزبلة.
المقبرة لا أحد يستطيع المرور فلم تسلم أي منطقة من وسخ المدينة و السبب هو إهمال السلطات و ليس الشعب لأنه يفترض في المواطنين أنهم يوسخون لكن يفرض على السلطات التنظيف و إلا أين تذهب ميزانية الدولة و أموال الضرائب التي ندفعها.