Les directions du tourisme, de la culture, de la jeunesse et des sports, de l’environnement, de la PME et l’artisanat ont été mises à contribution pour animer le lancement de la saison estivale 2008, dont l’ouverture a eu lieu à la plage de Terga en présence des autorités locales avec à leur tête le wali d’Aïn Témouchent M. Bouderbali Mohamed. Celui-ci était accompagné de M. Feghouli Abdelhafid, vice-président de l’activité Aval au sein du groupe Sonatrach ainsi que des représentants de Emal International en charge de la future aluminerie. Les deux opérateurs économiques se sont impliqués dans plusieurs actions de réhabilitation du milieu touristique en aménageant notamment des espaces de détente et d’autres sites visant à rendre plus agréable le séjour des six millions d’estivants attendus lors de cette saison.
Cette plage choisie comme pilote de référence, a servi de théâtre à une splendide fête concoctée par les diverses directions, parmi lesquelles se sont surpassées la DJS, la direction de la Culture et de la PMEA. La clique de la fanfare, en tête, sous la boulette de l’artiste Messaoud Bellemou, des troupes folkloriques ont défilé, suivies par des associations sportives et la cavalerie, ce qui a donné de fort jolis spectacles.
Le sponsoring en matière de gestion touristique se veut également une manière efficiente de protéger l’environnement des multiples agressions constatées durant les périodes de rush, où le littoral témouchentois est soumis à une forte pression. L’aspect sécuritaire, pris en charge conjointement par la Gendarmerie nationale, la Garde communale, la Protection civile et les éléments de la Sûreté nationale, a fait l’objet d’une attention particulière. Pour les 18 plages surveillées, le système de surveillance, déjà bien rodé, sera renforcé. Il restera les plages non surveillées où les risques sont plus élevés, à l’image des sites de Sidi Ali (Béni Saf) et Echehabna (Oulhaça). Officiellement interdites à la baignade mais qui connaissent une concentration d’estivants en communautés. Une forme de tourisme sauvage qu’il faudrait peut-être encadrer principalement au niveau de certains lieux côtiers, notamment Cap Figalo, Zouanif, Sidi Yagoub….
Les plages les plus prisées du littoral de la wilaya, celles qui nécessiteront un dispositif de surveillance mieux outillé, restent Rachgoun 1 et la plage du puits fréquentées par les autochtones et les estivants de Tlemcen ; El Hilal et Terga par les baigneurs de Sidi Bel-Abbès, tandis que celle de Bouzedjar est plutôt préférée par les Oranais. Il convient de relever l’engouement suscité par la nouvelle plage de Nedjma, encore vierge, et qu’il va falloir peupler.
On croit savoir à ce sujet que des propositions sont à l’étude pour tenter d’encourager de possibles implantations de cabanons et d’infrastructures dans les sites récemment créés. La formule du séjour chez l’habitant continue de faire des heureux parmi les résidents des localités côtières de Sidi Ben Adda, Béni Saf, Terga et au-delà, à Aïn Témouchent, Hammam Bouhadjar et El Malah.
Ce sont notamment les habitants du Sud du pays originaires de Béchar, El Bayadh, Saïda etc. qui forment le gros du contingent de touristes à la recherche d’un pied-à-terre sur le sol témouchentois, vu que les capacités d’accueil ont faiblement augmenté depuis dix ans. A ce propos, l’on estime à près de 1.600 le nombre de lits des différents hôtels et résidences et à 4.500 celui des 16 campings, tandis que 8 centres de vacances accueillent bon an mal an quelque 2.000 enfants.
Face à ce flux potentiel, il est clair qu’au moins trois volets vont devoir assurer une vigilance de tous les instants : il s’agit, primo, du facteur sécuritaire que ce soit au niveau des plages ou de la circulation routière, secundo du facteur sanitaire qui reste l’affaire de la DSP et du commerce pour les produits de consommation et tertio les APC concernées pour la collecte des ordures et l’entretien des plages.
De leur côté, les agents de la protection civile, les gendarmes et les gardes-côtes de la marine nationale ont impressionné le public par une simulation d’opération de sauvetage d’un groupe de harraga. Pour l’occasion, cette simulation a drainé une foule de curieux, parmi eux des centaines d’enfants. S’agissant des autres plages (El-Hillal, Wouroud et Sidi-Djelloul), les traditionnels estivants déplorent la présence de chantiers ouverts, ce qui influence négativement le séjour des estivants en quête de sérénité et de repos.
Quant aux citoyens de la ville, ils aimeraient bien que la mobilisation des transports pour les plages, ne se fasse pas au détriment du transport urbain.
Source : Echo-Oran et Voix-Oranie
Alors les amies du blede vous venez cette étè ou pas? On vous attend , au faite mon ami med deza ma fille chaimae a eu sa 6ème avec8.60
Moi chaimae tagri j’invite tout les temouchentois qui sont a l’etranger de passer leur vacances au blede , les plage de terga , sidi jelloul oued el hallouf (el hillal) ect …… vous attends et vous 3mi MED DEZA vous venez cette étè?
Bonsoir
Je dirai merci beaucoup pour cette invitation,bien que je ne peux pas l`honnorer pour des empechements professionnels, maisc`est vrai Temouchent compte des plages tres paradisiaques,
Moi a mon tour j`invite plutot les temouchentois serieux qui soNt a l`interieur du Bled et ailleurs d`investir dans leur Wilaya pour la rendre encore plus belle a l`instar a d`autres localites en Algerie,cette maniere de faire va developper considerablement le wilaya sur tous les plans,creation d`emploi d`une ma niere directe et indirecte plus d`autre avantages socieux et educatifs.
18 plages vous dites? donc les champs d`investissement existe,puis il rend grand service a toute la region,meme sa population devient tres moderne et a la page comme on dit.
Approchez les temouchentois et venez pas seulement pour les vacances, mais plutot pensez y a rendre service a vos plages et votre region , contribuez a son developpement qui est le votre egalement.
Sami