Décidément, par les temps qui courent, l’érudit reste perplexe et le sage pensif. Et certains ont le culot et ne reculent devant rien pour s’emparer des biens d’autrui illégalement, et usurper l’identité professionnelle d’un corps respectable supposé éclater la vérité toute la vérité là où elle se trouve. En effet, un jeune de 26 ans, encore en stage dans un centre de formation professionnelle, n’a trouvé de mieux que d’usurper la profession d’avocat. Dans ce genre d’histoire, les victimes sont toujours des personnes se trouvant dans un besoin pressant pour être défendues convenablement et efficacement. L’auteur du faux et usage de faux et usurpation de fonction n’est que B.H, en apparence ayant la stature requise, le verbe facile pour persuader ses victimes et agissant sans laisser des doutes pouvant le trahir.
L’une de ses victimes, ayant gardé l’anonymat et osé rompre avec la peur et le silence, s’est dirigée tout droit au poste de police et a déposé plainte contre l’usurpateur. Celle-ci a eu beaucoup de peine pour restituer les biens de son ex-mari qui l’a fraîchement divorcée. Il a frappé fort. Il avait demandé 15.000 DA à sa victime tout en lui vantant ses qualités miraculeuses d’en finir avec le dossier en peu de temps. Les descriptions données par la police ont permis à la P.J d’identifier le faux avocat puis de l’arrêter. Entendu par le magistrat à compétence territoriale, le mis en cause a été placé sous mandat de dépôt, avant-hier, note le communiqué de la Sûreté de wilaya dont copie a été transmise à notre bureau.
Source : Le Quotidien-Oran
الناس هم من يبحثون عن من ينصب عليهم ، لأن المحامين لديهم مكاتب و لا يتم الإتصال بهم صدفة ، كما أنه كان يتعين على هذه المرأم أن تلجأ إلى محام له مكتب و معروف و ليس كما قامت به بمركز البريد.
لكن عامة الناس أصبحوا يبحثون عن من له معارف و من يمكنه أن ينهي القضية بالمعرفة لدى أصبحوا عرضة للمحتالين للعلم أنه كل هؤلاء المحتالين لا يقومون بمناوراتهم لولا يوجد أغبياء و مغفلين