Un quota de 700 logements accordé

Dans le cadre du programme de résorption de l’habitat précaire (RHP), la wilaya d’Aïn Témouchent vient de bénéficier d’un nouveau quota de 700 unités de logements, destinés à accueillir les familles concernées, a annoncé à la VO le directeur général de l’OPGI, M. Saber Mohamed. Ce quota qui relève du RHP, selon notre source, est attribué à la wilaya de Aïn Témouchent au titre de l’année 2009 et n’est pas encore réparti entre les communes, dont le besoin est estimé globalement à quelque 3.000 unités. S’agissant des programmes précédents et entrant également dans le cadre du RHP, 1.300 unités de logement seraient en cours de réalisation sur plusieurs sites, avec des stades d’avancement différents les uns des autres. Parmi eux, le projet de 20 logements RHP en voie d’achèvement à Terga. Dans le même sillage, le P/APC de la commune d’Aougbellil, M. Kada Benchiha, a déclaré que l’opération de démolition du douar Mestari n’est pas encore achevée et que dans une première étape, 80 familles concernées seront relogées dans des logements du type social locatif, en attendant qu’un autre quota du même nombre et du même type de logements lui soit également attribué dans le même dessein.
Pour ce qui est du douar Chaffaâ relevant de la commune de Sidi Ben Adda, le DG de l’OPGI a été catégorique. Selon lui, la décision est déjà prise d’octroyer 42 logements en voie d’achèvement sur un ensemble de 100 unités en cours de réalisation, au profit des familles occupant encore les habitations promises à la démolition.
Dans le même cadre de la résorption de l’habitat précaire, un autre programme de 150 logements sociaux locatifs est destiné directement aux habitants de ce même douar, en vue de récupérer l’assiette des terrains occupés.
Toutefois, est-il souligné, les habitants du «Haouch» menaçant ruine à la rue Rabahi Saïd, ont rappelé à la VO, par le biais de leur déléguée B.N., dont l’habitation s’est partiellement effondrée en 2008 à la suite de pluies torrentielles, qu’ils restent à ce jour dans l’attente d’une décision salutaire des pouvoirs publics, pour les reloger dans les plus brefs délais, d’autant plus que d’autres effondrements peuvent intervenir à tout moment.

Source : Voix-Oranie

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