Les services de la sûreté de la wilaya ont tenu à imprégner à la journée du 26 juin 2008 dédiée à la lutte contre la toxicomanie un cachet particulier. Et pour cause, le phénomène connaît depuis quelques années une hausse inquiétante, d’où l’urgence d’une opération étalée dans le temps et dans l’espace afin d’atténuer l’audience néfaste, de ce qu’il est convenu d’appeler un fléau, grâce à la prévention. C’est ainsi qu’avec le concours de la gendarmerie nationale, la DAS, la direction des affaires religieuses et le syndicat des pharmaciens de la wilaya (SNAPO), des actions de sensibilisation sont programmées au CIAJ d’Aïn Témouchent.
Exposition de documents sur les ravages de la drogue, les statistiques soulignant l’acuité du problème et des documents expressifs du laboratoire central de la police, viendront donner du relief à cette journée. A partir de 10 heures, ce sera au tour du commissaire chargé de la brigade des stupéfiants d’animer une conférence- débat sur les questions liées à la toxicomanie. Cette campagne, selon l’officier chargé de l’information et de la communication au niveau de la sûreté de la wilaya, se poursuivra durant la saison estivale. Sachant que les plages du littoral deviennent des lieux propices aux premières expériences en matière de consommation de produits hallucinogènes.
Tt le mde est concerner par se fleau pour resoudre se probleme il faut couper la tete ou bien le cerveau de cette mafia qui tue nos enfants un par un il faut voir d’ou provient ce mal « drogue » et aller vert l’avant pour lui couper la route un conseil aux parents il faut denoncer il ne faut pas avoir peur parce que le silence tue beaucoups de jeunes alors la main dans main nous pourons faire du bien tant que on a un peux de temps maitenant pour nos responsables reagisser mers sa devient de plus en plus grave .
une campagne de desenbilisation au lieu de sensibilisation.tout ce sevice de securite deploye a fait fuir les citoyen. un seul sensibilise c’est mr le wali.car juste apres son depart tout le monde est parti.il faut laisser la societe civile faire