Les maladies à déclaration obligatoire (M.D.O.), enregistrées durant l’année 2007 dans la wilaya d’Aïn Témouchent, sont au nombre de 19 types totalisant 606 cas répartis inégalement selon leur fréquence distincte. La tuberculose pulmonaire, la tuberculose exceptionnelle, l’intoxication alimentaire, les inflammations et l’hépatite A et B occupent les premières loges des préoccupations des autorités sanitaires. Les inquiétudes vont crescendo pour la tuberculose pulmonaire (208 malades) et exceptionnelle (116 malades). L’organisation mondiale de la santé a, depuis peu, à l’occasion de la journée mondiale contre la tuberculose, tiré la sonnette d’alarme au sujet de l’évolution fracassante de la maladie à travers le monde et plus particulièrement en Afrique.
Faut-il comprendre que la tuberculose a subi des mutations successives à tel point que le remède préconisé n’est plus en mesure de l’éradiquer et que la maladie résiste assez bien? S’il s’agit de cela, l’on peut dire que l’OMS, et à travers elle, la communauté des chercheurs et spécialistes du domaine est devant un défi du siècle. A priori, l’on est tenté de le croire parce que la tuberculose gagne du terrain. Les poches de la paupérisation, des conflits et des guerres sont les foyers prépondérants de la propagation de la tuberculose. Le rapport, établi par les services habilités de la wilaya d’Aïn Témouchent, n’a pas ciblé les localités et les zones les plus touchées par la maladie. A moins que cela est frappé du sceau de la confidentialité pour l’opinion. Les spécialistes ne cachent pas leurs préoccupations et leurs inquiétudes au sujet de l’évolution de la maladie.
Mais, ce qui est demandé est de mettre en oeuvre un plan conséquent, efficace et efficient de lutte pour éradiquer la tuberculose. Le plan de lutte doit également inclure les nouvelles recommandations arrêtées par l’OMS relatives aux dispositifs et aux moyens humains et matériels. Le ministère de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière devait sans doute prendre les mesures d’urgence qui s’imposent pour y faire face.
Source : Quotidien-Oran
C’est bien dommage de voir que ces maladies se propagent vite au sein de la population de Témouchent.
Mais il faut savoir que des facteurs externes influent sur cela.
Je citerais notamment le manque d’informations: on manque de réactivité.
Le manque de prévention: En effet , on ne peut pas gérer des cas d’épidémies avec des organismes qui ne travaille pas( Ex: Laboratoires d’hôpitaux), en plus témouchent n’est pas si grande, il suffirait de doter les pharmacies hospitalière (?)avec ce qu’il faut comme réactifs et faire travailler les laborantin au moins 3j/semaine.
Par expérience, je sais que c’est très facile, et cela est gérable.
Il suffit juste de trouver des employé et responsables et sensibles à ces maux.
J’espère que ton message amine aura écho souhaité
mon fils et malad de la tuberculose je fai quoi svp